Mesurer la qualité de l’air dans les bureaux


Mesure de la qualité de l’air dans les espaces de bureaux

La qualité de l’air intérieur dans les bâtiments tertiaires est un enjeu sanitaire croissant pour les occupants. Ils sont de plus en plus demandeurs d’informations et de garanties sur la qualité de l’air qu’ils respirent au quotidien.

Cette demande trouve son origine dans la publication de nombreuses études qui démontrent l’impact d’une mauvaise qualité de l’air sur la santé des occupants ainsi que sur leurs capacités cognitives. Les effets se voient donc sur le moyen et le long terme, au travers du développement d’allergies ou de problèmes respiratoires, mais aussi au moment même de l’exposition via une baisse de productivité et de la concentration.

Cette tendance paraît durable, car les bâtiments de bureaux sont de plus en plus confinés, favorisant ainsi la concentration des polluants (notamment les COV et le formaldéhyde) et le développement des contaminations microbiologiques aéroportées.

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Les atouts de l’offre ISPIRA

 

Audit de la qualité de l’air intérieur :

L’audit réalisé par ISPIRA dans les bureaux permet de réaliser un diagnostic complet et rigoureux de la qualité de l’air intérieur tout au long de la chaîne de traitement d’air (CTA), et permet de déceler toute dégradation préjudiciable de l’air délivré par les installations.

Les principaux composés indicateurs de la qualité de l’air intérieur sont :

  • Le dioxyde de carbone (CO2), véritable indicateur du taux de renouvellement de l’air d’un espace occupé,
  • Les poussières ou particules fines (PM2,5 et PM10),
  • Les composés organiques volatils (COV), tels que le formaldéhyde, le benzène…
  • Les bio-contaminants (flore bactérienne, levures et moisissures).

En fonction des sources d’émission et de la qualité du renouvellement de l’air, d’autres composés plus spécifiques peuvent être présents et s’accumuler tels que l’ozone (O3), le dioxyde d’azote (NO2), le radon, le plomb…

Nous vous accompagnons pour :

  • La réalisation de campagnes de mesures,
  • L’audit des installations de ventilation et des centrales de traitement de l’air (débit, pression, étanchéité, température, humidité),
  • L’évaluation des risques liés à la QAI,
  • Les conseils pour la définition de plans d’actions et pour la recherche de solutions,
  • La mise en place de réseau de capteurs pour le monitoring de la QAI,
  • L’assistance à maîtrise d’ouvrage dans la réalisation de vos appels d’offres.

 

Surveillance du taux de CO2 :

Dans le cadre de la surveillance de la qualité de l’air dans les espaces fermés accessibles au public, le suivi du CO2 par la mise en place d’un réseau de capteurs dans les bureaux est largement recommandé. En effet, la mesure du CO2 permet d’évaluer efficacement le taux de renouvellement de l’air d’un local et son niveau de confinement. Un confinement faible et maîtrisé tout au long des périodes d’occupation permet de réduire l’accumulation de polluants dans l’air, mais aussi de limiter les risques de transmission de virus et autres micro-organismes transmissibles par l’air. La mise en place d’un réseau de capteurs connectés au sein d’un établissement permet de suivre efficacement et à distance les concentrations en CO2 et de réagir en cas de valeurs supérieures aux taux réglementaires.

En Belgique, la loi sur l’amélioration de la qualité de l’air intérieur exige ainsi une concentration inférieure à 1200 ppm ou 900 ppm (selon le niveau de risque). Au Luxembourg la norme EN 16798-1 a été reprise pour fixer les critères de haute qualité de l’air intérieur, avec un seuil à 1000 ppm.

Notre équipe d’ingénieurs pourra réaliser un diagnostic ponctuel ou une surveillance en continu de la qualité de l’air de vos bureaux et vous accompagner sur la mise en place de solutions.