Les atouts de l’offre ISPIRA
Audit de la qualité de l’air intérieur :
L’audit réalisé par ISPIRA dans les bureaux permet de réaliser un diagnostic complet et rigoureux de la qualité de l’air intérieur tout au long de la chaîne de traitement d’air (CTA), et permet de déceler toute dégradation préjudiciable de l’air délivré par les installations.
Les principaux composés indicateurs de la qualité de l’air intérieur sont :
- Le dioxyde de carbone (CO2), véritable indicateur du taux de renouvellement de l’air d’un espace occupé,
- Les poussières ou particules fines (PM2,5 et PM10),
- Les composés organiques volatils (COV), tels que le formaldéhyde, le benzène…
- Les bio-contaminants (flore bactérienne, levures et moisissures).
En fonction des sources d’émission et de la qualité du renouvellement de l’air, d’autres composés plus spécifiques peuvent être présents et s’accumuler tels que l’ozone (O3), le dioxyde d’azote (NO2), le radon, le plomb…
Nous vous accompagnons pour :
- La réalisation de campagnes de mesures,
- L’audit des installations de ventilation et des centrales de traitement de l’air (débit, pression, étanchéité, température, humidité),
- L’évaluation des risques liés à la QAI,
- Les conseils pour la définition de plans d’actions et pour la recherche de solutions,
- La mise en place de réseau de capteurs pour le monitoring de la QAI,
- L’assistance à maîtrise d’ouvrage dans la réalisation de vos appels d’offres.
Surveillance du taux de CO2 :
Dans le cadre de la surveillance de la qualité de l’air dans les espaces fermés accessibles au public, le suivi du CO2 par la mise en place d’un réseau de capteurs dans les bureaux est largement recommandé. En effet, la mesure du CO2 permet d’évaluer efficacement le taux de renouvellement de l’air d’un local et son niveau de confinement. Un confinement faible et maîtrisé tout au long des périodes d’occupation permet de réduire l’accumulation de polluants dans l’air, mais aussi de limiter les risques de transmission de virus et autres micro-organismes transmissibles par l’air. La mise en place d’un réseau de capteurs connectés au sein d’un établissement permet de suivre efficacement et à distance les concentrations en CO2 et de réagir en cas de valeurs supérieures aux taux réglementaires.
En Belgique, la loi sur l’amélioration de la qualité de l’air intérieur exige ainsi une concentration inférieure à 1200 ppm ou 900 ppm (selon le niveau de risque). Au Luxembourg la norme EN 16798-1 a été reprise pour fixer les critères de haute qualité de l’air intérieur, avec un seuil à 1000 ppm.