Les atouts de l’offre ISPIRA
Les experts d’ISPIRA vous accompagnent pour vous aider à assurer le confort et la sécurité des occupants. Avec plusieurs centaines d’établissements évalués, nos équipes sont des spécialistes de ce type de locaux (règles de construction et d’aménagement spécifiques, types de ventilation, gestion des rythmes des enfants et du personnel). Nos interventions sont efficaces et discrètes, afin de perturber le moins possible les enfants.
Audit de la qualité de l’air intérieur (QAI) :
L’audit réalisé par ISPIRA permet de réaliser un diagnostic complet et rigoureux de la qualité de l’air intérieur tout au long de la chaîne de traitement d’air, et permet de déceler toute dégradation préjudiciable de l’air délivré par les installations.
Les principaux composés indicateurs de surveillance de la qualité de l’air intérieur sont :
- Le dioxyde de carbone (CO2), véritable indicateur du taux de renouvellement de l’air d’un espace occupé,
- Les poussières ou particules fines (PM2,5 et PM10),
- Les composés organiques volatils (COV), tels que le formaldéhyde, le benzène…
- Les bio-contaminants (flore bactérienne, levures et moisissures).
Nous vous accompagnons pour :
- La réalisation de campagnes de mesures,
- L’audit des installations de ventilation et des centrales de traitement de l’air (débit, pression, étanchéité, température, humidité),
- L’évaluation des risques liés à la QAI,
- Le monitoring de la QAI,
- Les conseils sur la définition de plans d’actions et pour la recherche de solutions.
Monitoring de la QAI et du taux de CO2 :
Dans le cadre de la surveillance de la qualité de l’air dans les espaces fermés accessibles au public, le suivi du CO2 par la mise en place d’un réseau de capteurs dans les locaux est largement recommandé. En effet, la mesure du CO2 permet d’évaluer efficacement le niveau de confinement d’un local. Un confinement faible et maîtrisé tout au long des périodes d’occupation permet d’augmenter les capacités d’apprentissage, de réduire l’accumulation de polluants dans l’air, mais aussi de limiter les risques de transmission de virus et autres micro-organismes transmissibles par l’air.
La mise en place d’un réseau de capteurs connectés au sein d’un établissement permet de suivre efficacement et à distance les concentrations en CO2 et de réagir en cas de valeurs supérieures aux taux réglementaires.
En Belgique, la loi sur l’amélioration de la qualité de l’air intérieur exige ainsi une concentration inférieure à 1200 ppm ou 900 ppm (selon le niveau de risque). Au Luxembourg la norme EN 16798-1 a été reprise pour fixer les critères de haute qualité de l’air intérieur avec un seuil à 1000 ppm.